Émotion, paix, communion, harmonie, émoi. 22H30. Devant l’Abbatiale de Saint-Gildas. La tension monte dans le public. La porte de l’Abbatiale s’ouvre doucement. ELLE apparaît. ELLE, Anne. Dans SA robe. Merveilleuse. Moment inoubliable dans la vie d’un homme, dans la vie d’un Breton. J’en ai vu pleurer. J’en ai vu craquer. Moi aussi. ELLE est là. Oui, c’est ELLE. Anne, Tu es là, devant nous. Dans TA robe d’apparat.
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L’idée de commémorer cette personnalité de l’histoire bretonne et française par des activités culturelles et pédagogiques a son mérite. Je conviens de l’effort pour des bénévoles à produire de telles activités. Cependant, je m’interroge sur l’intérêt de « cela » dans une démarche qui se veut de qualité originale et professionnelle … est-ce le commentaire ? Enfin les anachronismes … l’habit d’un gentilhomme sous Louis XII (1498 à 1515) garde l’influence de l’Italie mais se tourne vers les modes espagnoles avec encore trois pièces essentielles : le pourpoint, les chausses et le manteau. Le haut de chausses est séparé du bas pour être une véritable culotte à pont (martingale). A crevés comme le pourpoint, les chausses sont souvent parties (bicolores). Le devant commence à former une poche saillante, la braguette… que voit-on ici ?